Quelle pompe à chaleur choisir suivant les besoins de son foyer ?

Installer une pompe à chaleur (PAC) doit se faire de manière réfléchie en fonction de ses besoins personnels, de ses attentes et de son budget. Il faut notamment prendre en compte le type de pompe à chaleur (air-eau, géothermique, eau-eau…) mais aussi certains critères concernant le logement, le système de chauffage et les performances. Suivez le guide !

Sommaire :

  1. Quels sont les différents types de pompes à chaleur ?
  2. Quels sont les critères à prendre en compte pour choisir une pompe à chaleur ?
  3. Quelle PAC choisir pour remplacer mon ancien système de chauffage ?
  4. Quels sont les atouts des PAC ?
  5. FAQ sur le type de pompe à chaleur choisir selon vos besoins

En résumé :

Vous ne savez pas quelle pompe à chaleur choisir pour votre logement ? Voici les paramètres importants à analyser :

  • la surface totale de votre maison : la superficie de cette dernière influe en effet sur le dimensionnement de votre appareil (la puissance nécessaire au chauffage du logement) ;
  • le nombre de pièces à chauffer pour une PAC air-air (PAC monosplit ou multi-split) : un système de climatisation monosplit est doté d’une seule unité extérieure et d’une seule unité intérieure. Il est souvent destiné à un usage en appartement ou dans une seule et unique pièce. Uns système multisplit (doté de plusieurs unités intérieures) est destiné, lui, à chauffer plusieurs pièces ;
  • c’est pourquoi on recommande la clim monosplit aux personnes qui désirent ne climatiser que la pièce de vie centrale d’une maison, ou encore une chambre ou un bureau. Mais il s’agit aussi d’une option intéressante pour les personnes souhaitant trouver un chauffage d’appoint pour un logement ;
  • le type de pompe à chaleur (aérothermique, géothermique ou hydrothermique) ;
  • le budget que vous souhaitez allouer.

Retrouvez tous les détails ci-dessous dans notre guide.

fonctionnement pac

Quels sont les différents types de pompes à chaleur ?

Il existe plusieurs types de pompes à chaleur (PAC). Ces dernières sont en effet classées selon la source d’extraction des calories qui seront ensuite exploitées pour chauffer le logement. Ci-dessous les différents types de PAC :

  • les pompes à chaleur aérothermiques : air-air et air-eau ;
  • les pompes à chaleur géothermiques : sol-eau et sol-sol ;
  • les pompes à chaleur hydrothermiques : eau-eau. 

La pompe à chaleur aérothermique (air-eau, air-air)

La pompe à chaleur aérothermique (air-eau, air-air)

Comme son nom l’indique, la pompe à chaleur aérothermique fonctionne à partir de l’énergie puisée dans l’air. Cette énergie est transformée en eau chaude dans le cas d’une pompe à chaleur air-eau, et en air chaud dans le cas d’une PAC air-air, afin d’alimenter un système de chauffage ou d’eau chaude sanitaire.

Les PAC air-air et air-eau sont aujourd’hui les plus populaires en France. Il s’agit en effet des pompes à chaleur dont l’installation est la plus simple et avec le prix le plus abordable, notamment grâce aux aides de l’État. 

De plus, ces deux types de PAC s’adaptent généralement avec de nombreux types de système de chauffage déjà existants au sein du logement, en fonction de la PAC en question. Une PAC air-eau, qui s’occupe du chauffage et de la production d’eau chaude, est raccordable au réseau de chauffage central existant tandis qu’une PAC air-air, s’occupant du chauffage et de la climatisation, est idéale en remplacement de radiateurs électriques notamment.

 

Notez qu’une pompe à chaleur air-air ou air-eau peut être réversible. Cela signifie que la PAC a une double fonction : la production de chauffage en hiver et le rafraîchissement du logement en été (climatisation), permettant de faire baisser la température intérieure de quelques degrés

La pompe à chaleur géothermique (sol-sol, sol-eau)

Bien que nécessitant une installation plus complexe qu’une PAC air-eau ou air-air, la pompe à chaleur géothermique offre souvent les meilleures performances en termes de chauffage et d’eau chaude sanitaire. C’est pourquoi cette PAC est conseillée pour une maison mal isolée ou sujette à de fortes baisses de température en hiver. 

Le principe de la pompe à chaleur géothermique est de capter l’énergie présente dans le sol via les calories qu’il contient pour la transformer en chauffage. Il peut s’agir d’une PAC sol-sol ou d’une PAC sol-eau, mais le fonctionnement est très similaire. 

Les pompes à chaleur géothermiques nécessitent l’installation de capteurs afin de puiser l’énergie dans le sol. Il est possible de choisir entre le captage horizontal et le captage vertical selon la taille du terrain sur lequel est situé le logement. 

La pompe à chaleur eau-eau

Le fonctionnement des pompes à chaleur eau-eau (ou hydrothermiques) est similaire aux pompes à chaleur géothermiques, à la différence que l’énergie est ici puisée dans l’eau. Cela peut être fait à partir d’une source d’eau près de la maison comme un lac, un cours d’eau ou une nappe phréatique.

À l’instar des pompes à chaleur sol-sol et sol-eau, des travaux doivent être effectués pour installer les capteurs et puiser l’énergie. Le tout est ensuite relié au système de chauffage ainsi qu’au circuit d’eau chaude sanitaire du logement.

Il s’agit du type de pompe à chaleur le moins fréquent, mais qui reste une option envisageable dans certains cas. Le mieux est de faire appel à un professionnel pour analyser les sources d’eau à proximité de chez vous et déterminer si la pompe à chaleur eau-eau est intéressante. 

Types de pompes à chaleur disponibles suivant les marques

Type de pompe à chaleurAir-airAir-eauRéversibleHybrideGéothermique
Atlanticxxxxx
Auerx
Boschxxx
Daikinxxxx
De Dietrichxxx
Duvalxx
Hitachixx
Mitsubishixxx
Panasonicxx
Technibelx
Toshibaxxx
Viessmannxx

Quels sont les critères à prendre en compte pour choisir une pompe à chaleur ?

Les caractéristiques du logement

Afin de choisir le type de pompe à chaleur qui correspond à vos besoins, vous devez impérativement prendre en compte les spécificités de votre logement. Il s’agit notamment de sa taille et de la région où ce dernier est situé. 

Dans un premier temps, une grande maison n’aura évidemment pas les mêmes besoins en chauffage qu’un petit appartement. Il convient donc de choisir la bonne puissance pour votre pompe à chaleur. C’est ce qu’on appelle le dimensionnement. Si la puissance de la PAC est trop élevée, elle consomme trop d’énergie pour fonctionner.

Par ailleurs, la température extérieure joue un rôle essentiel dans les performances des pompes à chaleur. Un modèle de pompe à chaleur air-eau ne sera par exemple pas optimal dans un environnement où la température extérieure est très basse. Il en va de même pour un logement mal isolé qui ne conserve pas correctement la chaleur produite.

quelle pac choisir

La puissance de la pompe à chaleur

Nous venons rapidement de l’aborder ci-dessus, le dimensionnement d’une pompe à chaleur permet de déterminer la puissance en watts requise pour chauffer votre logement. Quelle puissance est nécessaire pour une maison de 100 m², par exemple ? Pour la déterminer, il faut suivre plusieurs étapes :

  1. calculer le dimensionnement de sa pompe à chaleur ;
  2. définir le volume à chauffer ;
  3. connaître le coefficient de construction ;
  4. déterminer la température ;
  5. calculer la puissance.

Vous avez peur de ne pas savoir choisir la puissance nécessaire au bon fonctionnement de votre PAC ? Faîtes appel à un professionnel. Celui-ci saura vous conseiller dans le choix de la puissance de votre PAC pour assurer la rentabilité de votre installation.

Étape 1 : calculer le dimensionnement de sa pompe à chaleur

Afin de calculer le dimensionnement de votre pompe à chaleur, vous devez estimer les déperditions de celle-ci. Les déperditions se calculent comme suit : 

Étape 2 : définir le volume à chauffer

Pour un logement de 100 m2, avec une hauteur sous-plafond de 2,5 m, on obtient un volume de 250 m3.

Étape 3 : connaître le coefficient de construction

Il faut connaître le coefficient d’isolation de votre logement, qui dépend du système d’isolation de votre habitation. Les réglementations telles que la RE 2020 correspondent aux réglementations thermiques. Ces normes plus récentes assurent aux logements une isolation de meilleure qualité, donc des déperditions thermiques moins nombreuses, qui expliquent un coefficient de construction plus faible.

Étape 4 : déterminer la température

Le calcul des déperditions comprend également une différence entre température ambiante et température extérieure. En moyenne, une température ambiante de confort au sein d’un logement se situe à 19 °C. En revanche, la température extérieure peut fortement varier suivant les régions, voire même entre les départements. Les conditions climatiques sont hétérogènes, d’où un découpage en zones climatiques. 

La France est ainsi divisée en 8 zones climatiques. Pour schématiser, le Nord et l’Est correspondent aux zones H1a, H1b, H1c. L’Ouest aux zones H2a, H2b et H2c. La zone H3 correspond au pourtour méditerranéen et à la Corse.

Étape 5 : calculer la puissance

En posant l’hypothèse des données suivantes :

  • le logement possède un volume à chauffer de 250 m³ ;
  • il a un coefficient de construction de 0,7 ;
  • il est situé à Nice (zone climatique H3) correspondant à une température extérieure de base de -3 °C ;
  • d’après la formule : déperditions (en Watt) = volume à chauffer x coefficient de construction x (température ambiante – température extérieure de base).

Nous avons toutes les données pour calculer les déperditions, qui correspondent à : 

Déperditions = 250 x 0,7 x (21-(-3)) = 4 200 watts

Les déperditions du logement sont donc estimées à 4 200 watts, soit 4,2 KW. Le dimensionnement correct de la PAC est donc de 4,2 KW.

L’installation de chauffage du logement

Lors de travaux de rénovation, il est plus simple de choisir une pompe à chaleur qui peut directement être intégrée au système de chauffage existant. Dans le cas contraire, l’installation devra entièrement être rénovée et coûtera donc bien plus cher

Le premier élément à prendre en compte est la température à laquelle fonctionnent les équipements de chauffage. On distingue ici les pompes à chaleur basse température et les pompes à chaleur haute température selon les besoins. 

Notez toutefois qu’il est souvent conseillé d’opter pour une PAC basse température. En effet, pour les pompes à chaleur à basse température, la température de sortie de l’eau se situe entre 35°C et 45°C. Cette température peu élevée offre de très bonnes performances car la différence entre la température extérieure et la température souhaitée dans le circuit de chauffage est assez faible

Concernant les pompes à chaleur air-eau haute température, l’écart de température est plus important car la température de sortie tourne autour de 65°C. Il faudra donc consommer davantage de combustible afin de combler cet écart et atteindre la température adéquate dans le réseau de chauffage.

Ensuite, il y a les types d’émetteurs dont est équipé le système de chauffage. Il peut s’agir de radiateurs classiques, de ventilo convecteurs ou encore de parquets chauffants. Ici encore, vous devez donc vous assurer que la pompe à chaleur soit bien adaptée.

Le rendement et la performance de la pompe à chaleur

Le coefficient de performance COP

Les pompes à chaleur peuvent être plus ou moins performantes selon le modèle. Pour mesurer cette performance, on utilise un indicateur appelé COP. Il s’agit d’un coefficient de performance permettant de connaître la consommation d’énergie de la PAC par rapport à sa production de chauffage. 

Par exemple, une pompe à chaleur avec un COP de 5 signifie que 5 kWh de chauffage sont produits pour 1 kWh d’électricité consommé. Comme vous l’aurez compris, plus le COP est élevé et plus la PAC est performante. 

Aujourd’hui, il est recommandé de choisir des pompes à chaleur avec un COP d’au moins 4 pour des performances de chauffage optimales. Notez cependant que cet indicateur ne peut être comparé qu’entre les pompes à chaleur de même type.

Le coefficient de performance SCOP

Le SCOP (coefficient de performance saisonnier) peut se substituer au COP. Son indice de performance se calcule en soustrayant la somme d’énergie calorifique produite sur une saison avec l’énergie qu’elle consomme, le tout en kWh. Comme pour le COP, plus l’indice est élevé, plus l’installation est performante. 

Le coefficient de performance SEER

Dans le cas d’une pompe à chaleur réversible, c’est l’indicateur de performance SEER qui est utilisé. Il mesure l’efficacité frigorifique saisonnière de la PAC. Pour calculer cet indice, il faut prendre la somme de l’énergie frigorifique produite (en kWh) et la diviser par la somme d’énergie consommée (en kWh) au cours d’une saison. 

Présenté sous forme d’étiquette énergétique (de D à A+++), le SEER doit être au minimum de 5,7 (classe B). Il est accompagné du SCOP pour évaluer la performance de la PAC lorsqu’elle est en mode chauffage.

Quelle PAC choisir pour remplacer mon ancien système de chauffage ?

Afin d’adapter votre chauffage à votre système de chauffage central existant, et, de cette façon, éviter la réalisation de gros travaux, voici les options que nous vous recommandons :

 

  1. vous souhaitez remplacer votre ancienne chaudière ? Que cette dernière soit au gaz, au fioul ou au bois, tournez-vous vers une PAC air-eau ;
  2. vous voulez remplacer votre chauffage électrique ? Dans ce cas-ci, vous ne possédez pas de circuit de distribution d’eau chaude, tournez-vous plutôt vers une PAC air-air qui remplacera vos radiateurs électriques à l’aide de son (ou ses) unité(s) intérieure(s).

Quels sont les atouts des PAC ?

Au fait, pourquoi faire le choix d’une pompe à chaleur pour son logement ? Quelles sont les raisons qui expliquent sa performance et en font un des appareils de chauffage les plus avantageux et les plus sollicités

Un appareil économique

On le sait, une PAC vaut cher. Cependant, c’est un dispositif de chauffage qui s’inscrit de plain-pied dans le souhait de transition énergétique pour la France du Gouvernement. Aussi, la PAC est éligible à de nombreuses aides permettant de réduire considérablement son coût d’installation, dont :

  • les primes CEE (ou primes énergie) tirées du dispositif des CEE ; 
  • MaPrimeRénov’ ;
  • MaPrimeRénov’ Sérénité ;
  • l’éco-prêt à taux zéro ;
  • la TVA à taux réduit de 5,5 % (au lieu des 20 % habituels) ;
  • le PAR (prêt Avance Rénovation) ;
  • les aides locales ;
  • le Chèque énergie.

Certaines aides étant cumulables, il est possible de réduire considérablement le coût de sa pompe à chaleur. 

Attention toutefois ! Les offres très alléchantes de PAC à un euro ont disparu, à cause d’arnaques trop fréquentes de particuliers venant de professionnels peu scrupuleux. Si vous tombez nez-à-nez avec une de ces offres, n’y donnez aucun crédit ! 

Par ailleurs, du fait qu’elles sont utilisées en tant que climatiseurs avant tout et qu’elles ne sont pas idéales du point de vue écologique, les PAC air-air ne sont éligibles qu’à trois aides :

  1. la TVA réduite (10 % sur l’installation) ;
  2. les primes CEE ;
  3. les aides locales.

Un dispositif de chauffage écologique

Une pompe à chaleur possède un taux d’émissions de gaz à effet de serre (GES) assez faible et a un taux de conversion efficace de l’énergie en chaleur. Les PAC air-eau offrent notamment des rendements très élevés, proches de 600 %, ce qui vous permet de réaliser d’importantes économies d’énergie. 

Par ailleurs, pour disposer d’un dispositif encore plus écologique, vous pouvez coupler votre PAC avec des panneaux solaires photovoltaïques. Si l’énergie solaire ne vous intéresse pas, pourquoi ne pas vous tourner vers une pompe à chaleur hybride ? La pompe à chaleur hybride combine l’utilisation d’une PAC air-eau et d’une chaudière gaz à condensation. Ce type de PAC est équipé d’un régulateur intelligent, ce qui favorise les économies d’énergie, réduit les émissions de CO2 et améliore le confort thermique.

En effet, le régulateur active le mode de chauffage le plus avantageux et le plus performant suivant la température extérieure ainsi que le prix de l’énergie (gaz pour la chaudière et électricité pour la PAC).Prévoyez tout de même un budget moyen compris entre 8 000 € et 12 000 €.

Un entretien minimum

Les PAC ne nécessitent que peu d’entretien comparées aux autres systèmes de chauffage, notamment ceux à combustion. Certains éléments doivent toutefois être vérifiés au moins une fois par an, ce que vous pouvez facilement effectuer vous-même. Un installateur professionnel, en revanche, doit effectuer une vérification tous les deux ans.

Une durée de vie élevée

La durée de vie des pompes à chaleur est élevée. En effet, les PAC peuvent avoir une longévité maximum de 50 ans, mais la durée de vie moyenne se situe entre 14 et 15 ans. Cette durée de vie importante ne les empêche pas d’être une source de chaleur très fiable et régulière, à condition qu’elles soient correctement dimensionnées et bien entretenues.

Un choix varié entre les nombreux modèles et marques présents sur le marché

Enfin, il existe différents modèles et types de pompes à chaleur sur le marché : PAC air-eau, eau-eau, sol-eau, sol-sol… Il y en a pour tous les goûts ! Par ailleurs, vous avez également le choix entre plusieurs marques : Daikin, Atlantic, Saunier Duval, Mitsubishi, De Dietrich… Voilà un panel de fabricants reconnus sur le marché. Avec eux, pas de risque quant à la qualité de l’appareil que vous choisirez. 

Il ne vous reste plus qu’à choisir le meilleur modèle de PAC selon les besoins de votre logement. 

type pompe a chaleur

FAQ sur le type de pompe à chaleur choisir selon vos besoins

Il y a trois principaux modèles de pompes à chaleur : la pompe à chaleur aérothermique (air-air, air-eau), la pompe à chaleur géothermique (sol-sol, sol-eau) ainsi que la pompe à chaleur hydrothermique (eau-eau). 

Les PAC vous permettent de réaliser de belles économies d’énergie, en plus d’être écologiques.

Il y a trois principaux modèles de pompes à chaleur : la pompe à chaleur aérothermique (air-air, air-eau), la pompe à chaleur géothermique (sol-sol, sol-eau) ainsi que la pompe à chaleur hydrothermique (eau-eau). 

Les PAC vous permettent de réaliser de belles économies d’énergie, en plus d’être écologiques. 

Le prix des pompes à chaleur peut varier en fonction du modèle et de ses spécificités. L’échelle est donc très large, avec un prix pouvant aller de 1 000 € à 30 000 €, toutes technologies confondues. Il varie selon le modèle, la puissance ou encore la situation de l’habitation.

Il y a également des aides financières comme MaPrimeRénov’ ou la TVA à taux réduit qui peuvent être sollicitées afin de réduire le coût de vos travaux. Attention, du fait de leur utilisation principale en tant que climatiseurs et de leur caractère peu écologique, les pompes à chaleur air-air ne sont éligibles qu’à trois aides : la TVA réduite à 10 %, les primes CEE et les aides locales.

Aliénor Guibert

Aliénor Guibert

Aliénor Guibert est une rédactrice passionnée et experte en rénovation énergétique, ayant une prédilection pour les pompes à chaleur, l'isolation et le chauffage à bois. Après une classe préparatoire de lettres, Aliénor décide de mettre à profit son talent pour l'écriture en se spécialisant dans la rénovation énergétique.